Le jus du bonheur.....

A cette époque j'avais 18 ans mon copain Bala en avait 25. Il était monté comme un taureau. La prémière fois qu'il m'a fait l'amour j'ai eu très mal, c'était comme si il m'avait deviergé. Et pourtant il était mon troisième copain.
Un après midi pluvieux, Bala vient me chercher pour une visite chez son ami. Nous avons trouver l'ami en question était entrain de baiser sa copine dans sa chambre à coucher. Il nous a crié de nous mettre à l'aise en attendant. Cela a donné des idées à mon Bala qui commença à me carresser. Je n'étais pas très à l'aise.
Je portais une robe legère. Il n'a pas mis trop de temps pour glisser ses doigts dans ma culotte et atteindre mon sexe. Il commença à me doigter avec son index. Je suis exisée de ce fait ses autres doigts se callaient à ce qui restait de mon clitoris. Je n'étais pas très coopérative bien qu'il me procurait beaucoup de plaisir. Je n'ai pas l'habitude de faire l'amour en sachant qu'il a une parsonne à côté qui a tout moment peut me surprendre.
Je lui demandais donc avec tout ce qui me restait comme force d'arrêter. Il a fait semblant de ne pas m'entendre. Je mouillais comme une fontaine. Soudain il me poussa sur le canapé et vient se planter dans ma chatte, il a commencé par de lents va et viens et pour ensuite me baiser avec force. Soudain il me souleva la jambe pour mieux me coigner. J'étais à sa merci, la robe relevée et ma culotte tirée vers le coté. Il me baisait avec force en tirant sur la culotte. C'était trop pour moi, alors j'ai crié et son ami est sorti pour voir ce qui se passait. J'ai essayé de me degager mais il continuait de me baiser. Il me disait:
- tu te fatigues pour rien car je ne te laisserai pas sans t'avoir defoncer ta chatte, c'est pour cela que je suis parti te chercher.
Je lui criais alors:
-baise moi aussi, baise moi baise moi....
Il s'est tourné vers son ami qui nous regardait:
-qu'est ce que tu regardes, va baiser ta copine et laisse nous tranquille.
Il m'a retournée et m'a pris en levrette, les mains posées sur le canapé. et il me baisa encore et encore. Tous mes sens étaient en feux. Je ne cessais de lui dire:
-va au fond, plus profond. tu me baises si bien, oooh........ouiiiiiiiii, je jouïs.
Il criait lui aussi et j'ai senti ses longs jets se propager en moi et qui coulaient sur mes cuisses.
On est resté un bout de temps collés l'un dans l'autre. Il gardait son penis dans ma chatte. Soudain il ressort et se couche sur le canapé en me disant que c'était super. On était en sueur.
Quand j'ai vu son patalon sous ses pieds je lui ai dit qu'il n'a même pas pris le temps de se deshaller et moi aussi. Il m'a repondu qu'il était trop préssé. Avec son ami ils avaient bu un jus d'une herbe reputée très aphrodisiaque. J'ai compris enfin pourquoi il a autant duré sans éjaculer. Je lui dis de boire ce jus chaque fois qu'il veut me faire l'amour car il me faisait du bien aussi. Et on a rigolé ensemble.
Malheureusement il n'avait pas assez d'herbe en sa possession et il ne savait d'où elle venait. C'était un cadeau qu'un viel homme lui avait donné après un service qu'il lui avait rendu.
Son ami revient lui proposer d'aller acheter des cotelettes roties avec de la boisson. Sa copine vient me rejoindr au salon.
-ça fait 30 mn qu'il me fait l'amour et il dit que ce n'est pas fini et toi?
je lui dis:
- 15 à 20 mn, par contre moi je dois rentrer car je dois voir mon père.
On entends la porte s'ouvrir et se refermer avec des éclats de rire. Je pensais au fond de moi qu'il était entrain de parler de nous. Son copain me demande ironiquement si ça allait, "oui ça va" lui repondis je.
Après le repas, j'ai demandé les toilettes pour faire une petite toilette avant de rentrer.
- tout droit au fond du couloir.
J'ai enlevé ma robe, je me regardais dans la glace nue avec seulement mon soutien gorge quand je sens soudain une main se glisser entre mes fesses.
-comment tu peux partir sans me demander la permission au préalable.
C'était Bala, il était derrière moi et me parlait à l'oreille. Je devais rentrer car j'avais un rendez vous avec mon père. Il me dit qu'il n'a pas encore fini avec moi.
Il m'écarte avec voilence mes cuisses pour pointer sa bouche davant mon sexe. c'était divin je posais un pied sur le lavabo pour mieux sentir sa langue en moi. il m'a leché avec la pointe de sa langue tout en me doigtant. Je lui criais qu'il allait me tuer ce soir. Il se releva et me dit "tu n'as necore rien vu". Il m'assoie sur le lavabo et pointa sa queue devant ma bouche, comme une automate je l'ai pris et le lêcha de haut en bas en passant sur les testicules.
C'était la prémière fois mais de la façon dont il criait j'ai compris que je savais m'y prendre.
Il me releva, me poussa contre le mur et se planta en moi. Commença alors de voilents coups de boutoir. Il me lima je ne sais plus pendant combien de temps. Je degoulinais comme un chiffon moullé. Il sort de moi s'assoie sur le lavabo et m'empale. je criais, je le griffais.
-je vais te baiser comme une pute , ma pute. Je vais de defoncer ta chatte, tu vas pisser tout ton jus aujourd'hui.
je criais:
-oui, oui oui, je suis ta pute, fais de moi ce que tu veux, defonce moi jusqu'aux intestins.
il s'enfoncait encore et encore et soudain nous crions ensemble. Son ami qui dit:
-hé les enfants n'eumeuteez pas tout le quartier avec vos cris.
Je ne pouvais même pas me tenir debout, mes jambes tremblaient. Il me souffla à l'oreille "je t'aime ma chéri, tu peux rentrer maintenant et à ce soir".


Adjeta.

djedamba@yahoo.fr

La chaleur étouffante de ce début d’été m’accable. Ils n’ont encore rien compris et je crois qu’il ne comprendront jamais, hier encore ils n’ont pas remarqué mon absence, pendant que ses mains me parcouraient, ils pensaient que je lisait sagement comme la douce petite fille pour laquelle ils me prennent. Lorsque sa bouche sur moi se posait, eux me pensaient priant doucement dans ma chambre, lorsque nos corps se mêlaient eux ils me croyaient endormie dans la douceur et la candeur du lit de ma chambre d’enfance , cela fait des mois qu’ils ne voient rien, sont ils aveugles ? ou suis je une si bonne comédienne ? ai je l’air si fragile que cela ne viendrait à l’esprit de personne ? je ne peux répondre à leur place mais je sais que je ne suis pas ce qu’ils voient et cela me donne bien des fois envie de rire ………

La chaleur d’hier est de plus en plus présente, les têtes bien pensantes de cette bonne ville disent que l’enfer est en train de rejoindre notre monde et que si cela continue les démons viendront régner en maître sur notre monde …. Ne sont ils pas sots ? les démons sont là depuis bien longtemps, ceux qu’ils appellent les démons moi je les nommes les enfants de la nuit, ils m’attirent et m’ensorcellent ne serait ce que par leurs noms, je sais tout d’eux je les ai étudié en secret, d’ailleurs que ne fais je pas en secret ? Ce jour je pense avoir vu l’un d’eux lorsque l’un de mes clients avec lui m’emmenait, j’avais déjà vu cet homme, ou plus exactement ce vampire, il tourne autour de moi tel une guêpe autour du miel, je n’attendais que l’instant de notre rencontre … en en revenant à ce que j’énonçais hier sur ma famille encore cette nuit ils ne ce sont aperçut de rien, je suis pourtant rentrée sous leurs yeux à une heure tardive, le visage rougit par le plaisir, la chevelure et les vêtement portant encore les traces de mon « activité », les pauvres ils ne connaissent vraiment pas leur fille, mon seul plaisir selon eux est la lecture et la prière, alors que ….

Dans la moiteur de ce jour finissant l ‘« homme » entra dans cet endroit si étrange, le lieu est sombre et exigus, de grands coussins couleur rouge sang, sont étalés ça et là, la faible lueur des bougies lances des ombres mystérieuses dans la pièce, il la sent dans le coin près du lit toutes les fibres de son corps la ressentent, « elle sera parfaite » pense t’il « son apparente douceur, son goût pour les mystères et pour les plaisirs ……elle sera la compagne parfaite ». Près du lit elle l’attendait, le Vampire, celui qui lui apporterais ce qu’elle cherchait, la contrepartie demandée était bien maigre elle en avait l’habitude, son corps elle le savait lui permettrait de tout obtenir, il la voulait, il l’aurait, mais ……..Un sourire apparut sur ses lèvres merveilleusement rougies…mais le prix serait plus cher à payer pour lui que pour elle …. Tout deux avaient une idée en tête en venant ici le but pour les deux était la transformation de la jeune fille seulement le point sur lequel ils n’avaient pas le même point de vue était leur avenir commun …il se rapprocha ostensiblement de cette frêle silhouette aux formes pourtant si généreuses, des jambes au galbe parfait, un merveilleux visage enfantin a la peau de porcelaine , encadré d’une chevelure dont la douceur semblait évidente et dont la teinte satinée donnait un aspect si angélique à ce faciès , aux courbes féminine plus qu’attrayantes , elle se leva et se dirigea vers lui, aucun mot n’étaient nécessaires ils ne s’étaient jamais parlé cependant ils savaient tout l’un de l’autre et ils avait un accord sans mots et sans promesses, son corps contre l’immortalité qu’il proposait sans le proposer réellement, il la regardait comme fasciné, elle était tellement parfaite avec elle il dévasterai le monde sans aucune difficulté la force qu’elle avait en étant une simple mortelle deviendrait mirobolante une fois transformée, en elle tout transpirait déjà le péché dont sont fait les vampires, elle se dévêtit et il dû se mordre la lèvre pour ne pas agir précipitamment et bêtement, tout devait se passer comme il l’avait prévu rien ne devait être laissé au hasard il ne pouvait pas se permettre de la laisser échapper. Elle le vit s’approcher si calme et sérieux , elle elle souriait amusée par ce qui allait suivre … Il s’approchait à le fois confiant et inquiet, que ferait il si elle refusait l’immortalité qu’il lui offrait ? Non cette hypothèse ne pouvait pas être envisagée elle devait accepter, tout en se rapprochant il retira sa chemise puis arriver au pied du lit s’entendit près d’elle, elle prit alors le contrôle de la situation s’allongeant délicatement sur lui elle entreprit de l’embrasser tout en le débarrassant de son pantalon, il la laissa faire préférant que ce soit elle qui mène le jeu, doucement elle descendit de sa bouche à son torse lechant delicatement et suavement, titillant doucement de sa langue les tétons du vampire, le mordillant, puis les délaissant elle descendit encore plus, lechant chaque parcelle de son corps, enfin arrivé au bas ventre de cet homme dont les seuls atouts etaient loin de n'etre que l'immortalité bien au contraire à la vue de se membre de belle taille si fièrement érigé, doucement elle se mit à lecher ce sexe en erection le degustant comme une bonne glace, insistant sur son gland avec des petits mouvements de langue rapides, puis elle prit le sexe entier dans sa bouche le suçant goulument, des va et viens rapides et expert amenant le sexe du vampire à une tension extreme il n'allait pas tarder à jouir et cela plaisait à Silikia elle avait toujours aimer sentir un homme jouir en elle et avaler sa semence, le vampire parcourit de frisson, la main dans les cheveux de silikia, resserra ses doigts sur les cheveux de la jeune fille au moment de la jouissance les lui serrant à en faire mal se qui excita encore plus Silikia. La jeune femme remonta doucement le sa bouche pleine du jus de son vampire vers la bouche de celui ci et l'embrassa partageant la semance bouillante avec lui dans un baiser, tout en faisant cela elle frottait energiquement son sexe contre celui du vampire qui étrangement (sans doute dut au fait qu'il n'est pas vraiment humain) ne perdait pas d'energie et de puissance ... Le vampire attrapa fermement la jeune fille pour se retrouver au dessus d'elle descendant tel un felin vers l'in timité de la jeune fille il se mit à la lecher comme un assoiffé lape l'eau coulant d'une fontaine, il introduisit un doigt dans les recoin chauds et doux de la jeune femme farfouillant delicatement en elle, puis doucement il en introduisit un deuxieme puis un troisieme, effectuant des mouvements de va et viens de plus en plus rapide l'excitation du vampire grandement attisée par les altement de plaisir de la jeune femme ... puis la jeune d'elle même se plaça en position à quatre patte pour qu'il la prenne en levrette, seulement voilà notre vampire n'avait pas la même idée en tête, sans avoir prevenu ni lubtifié de quelque façon que ce soit il in serra sont sexe aux proportions plutot importante dans l'anus de Silikia, la jeune fille après un petit cri de surprise sur le moment, se mit à aleter fortement et ne laissa echaper qu'une seule phrase si l'on peut appeller cela une phrase

ouuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiii ....... hooooooooo ......... ouuuuuuuuiiiiii ....... plus vite mon amour ....... plus profond ouiiiiiiiiiiiiiii ......

le vampire plus qu'exciter par cet magnifique croupe qui s'offrait à sa vue accélera ses coup de boutoir tout en tirant les cheveux de la jeune femme en arriere pour pouvoir mieux la penetrer, au moment ou le plaisir se faisait de plus en plus important il inserra doucement ses dents dans le cou de la jene fille tout en liberant sa semence dans son beau cul ...

quelques heures plus tard alors qu’il la regardait il se dit qu’il avait bien fait, il observait les deux petits trou dans le cou de la jeune fille et souriait, elle n’avait pas eu peur, le seul son qui avait traversée ses lèvres lorsqu’il l’avait mordu avait été un léger soupire d’aise. Elle resta là un long moment à l’observer sa peau au teint pali par sa condition de vampire ses lèvres pleines et rouges, ses mains grandes et puissante son torse si bien dessiné, ses cheveux sombre, elle se répétait que c’était dommage de détruire quelque chose d’aussi beau, mais comment accepter cette ascendance qu’il aurait sur elle maintenant qu’il l’avait transformée, elle qui n’avait jamais supporter la moindre autorité …. il avait dû s’assoupir un instant car lorsqu’il se réveilla elle tenait un pieu au dessus de son cœur semblant attendre son réveil, elle lui dit alors :
« j’attendais ton réveil mon amour, je voulais te remercier du cadeau que tu viens de me faire » elle passa son pieu sur le torse aux ligne parfaites du Vampire « j’utiliserais mon immortalité a bon escient je te le garantie, et à présent »elle se mordilla la lèvre « moi aussi je vais te faire une petit présent … »
elle lui planta alors le pieu dans le cœur, il n’avait pas eu le temps de réagir ou n’avait pas voulu réagir en tout cas sa dernière heure avait sonnée, il ne restait dans ce lit, désordonné par leur nuit si passionnée et à la fin si particulière, que Silkania et un tas de cendres. Elle sortie alors son journal et dans ce lit souillé par leur nuit et la mort de son « créateur » elle écrivit les premiers mots de sa nouvelle vie ou plutôt de sa nouvelle absence de vie ……

SALLE DE BAIN EN CHALEUR

Cette histoire n‘est malheureusement qu’un fantasme à moi, imaginé pendant une longue insomnie… D’ailleurs ce fut une nuit où fantasme et plaisir solitaire ont renforcé mon imagination pourtant assez fertile.

Il s’appelle Eric, et j’ai pu constaté récemment que c’était un enfoiré affectif, donc inapte sur le long terme… curieusement ça ne m’empêche pas d’avoir de nombreuses pensées salaces en pensant à lui… Peut être parce que cela fait longtemps que je n’ai pas fait l’amour, peut être pour me rappeler comment on fait….

Tout commence devant la porte de chez lui, moi, Gwladyss, jeune femme de 21 ans j’attendais patiemment qu’il vienne m’ouvrir. Il faisait extrêmement chaud en cette journée de printemps. Je dois avouer que ma tenue n’avais pas grand chose d’estivale : un pantalon noir, un chemisier rouge et une veste noire. Mais bon, au boulot je n’allais pas non plus y aller en paréo… quoique….

Un déclic m’annonça qu’il ouvrait la porte.

- Salut toi !

- Salut, qu’est ce que tu fais ici ?

- Tu me laisses entrer ?

Il bouge pour me laisser passer, je reste debout. Il a beau être un enfoiré, c’est vrai qu’il est sexy, grand, musclé juste ce qu’il faut, un regard intense… de grandes mains. Il n’a aucune idée de ce que j’ai prévu pour lui.

On échange quelques banalités, je lui explique que je suis venue pour récupérer un CD quelconque. Même s’il n’est pas dupe il ne dit rien. Il me propose un verre

- Glaçon ?

- Oui s’il te plait, ça te dérange si je me met à l’aise…. Il fait vraiment chaud ici…

D’un signe de la tête il me dit que non. Je profite donc tu fais qu’il est la tête dans le frigo pour enlever mon chemisier et juste remettre ma veste, elle n’a que deux boutons en bas. LE décolleté est tel qu’il descend presque jusqu’au nombril, ne portant pas de soutien gorge, il peut voir une bonne partie de ma poitrine.

Il se retourne avec les deux verres et manque de les faire tomber.

- Lola ? Ca va ? Je peux savoir….

- Ecoute j’avais chaud et la veste est bien plus légère que le chemisier d’hiver….Si ça te dérange y a pas de prob…

- Non non ne t’inquiète pas

Je continue de parler mais je vois bien qu’il ne me regarde pas, ces yeux vont d’un sein à l’autre… Sans faire exprès, je laisse couler un peu de ma boisson sur moi, le froid fait pointer insolemment mes tétons à travers le tissu. Avec ma main j’essaye d’essuyer les gouttes qui perlent à la naissance de ma poitrine. Langoureusement, avec mes doigts je vais pour attraper cette maudite goutte. En le faisant, j’écarte innocemment un pan de la veste qui laisse entre apercevoir le bout rosé.

Le voir ainsi me donne du plaisir… Je me lève et lui demande si je peux aller éponger le liquide dans sa salle de bain… le coca est assez collant j’ajoute dans un sourire.

Je vois bien à sa tête qu’il ne comprend pas tout mais bon… j’adore le voir s’exciter…

Une fois dans la salle de bain, je me lave rapidement et retourne dans la pièce principal.

- Excuse moi, je n’avais pas fait attention…

- Mais ce n’est rien, t’inquiète pas et au fait alors le boulot…

Il tente de changer de sujet pour éviter tout débordement… mais je ne l’ai pas décidé ainsi, je croise et décroise mes jambes et laisse ma main glisser le long de ma cuisse.

Il fait vraiment chaud, je me lève un instant et il remporte les verres dans la cuisine. J’en profité pour attraper un glaçon et je retourne dans la salle de bain en laissant la porte entre ouverte.

Je sais qu’il va venir, des bruits de pas me le signale. Je prends alors le glaçon et le fait rouler du haut du cou jusqu’au nombril… un rapide coup d’œil dans la glace me montre qu’il est là et qu’il me regarde… je vois aussi que sa main caresse son sexe a travers le tissus…

Je pousse un léger soupir et fait courir le glaçon autour d’un sein, le long de la pointe, puis je le fait glisser jusque derrière mon cou… la tête en arrière je gémis…

Un autre coup d’œil me montre que sa main a disparu derrière le tissu, les à coup laisse penser à une masturbation intensive…

Brusquement je me retourne…. Il est pris en flagrant délit de masturbation…

- Je peux t’aider peut être ? Lui dis je avec un sourire malicieux…

Je lui donne le glaçon et me colle contre un mur… La il vient contre moi pour m’enlever la veste mais je l’empêche… Il sourit et il joue avec le glaçon, le faisant slalomer entre les deux monts que sont mes seins, la nature les ayant fait généreux et ferme.

Dans un même temps je passe ma main dans le caleçon tendu par son désir… Il retire ma main et l’emprisonne au dessus de ma tête. Dans un sourire il me murmure :

- Tu t’es bien amusé ? A mon tour maintenant de te faire languir…

Il défait alors les boutons de mon pantalon dans le descendre, la il passe la main sur mes fesses puis il prends le glaçon pour le faire courir le long de mes cuisses. Le glaçon n’en ai d’ailleurs presque plus un… seule les doigts glacés parcours mon corps sans jamais toucher mon sexe. Comme pour me faire payer mon numéro…

Il taquine le bourgeon des seins tendus, presque douloureux de plaisir, il tire, les faits rouler entre ces doigts, les aspire avec sa bouche, les lèches… Mes gémissements emplissent la pièce.

Sans prévenir, il me prends et m’oblige à me mettre devant la glace, lui se tient derrière moi et joue avec mes seins…. M’obligeant à nous regarder à travers le miroir…

Puis enfin il accorde un peu d’attention à mon pubis qui n’attendait que ça, déjà mon string est humide, voir mouillé, il joue avec le tissus, effleurant juste les lèvres gonflées…

Il titille le bouton, le fait rouler. Nous voir dans le miroir augmente notre plaisir, je sens dans le bas de mon dos la dureté de son plaisir…

Je me retourne donc afin de donner un peu d’attention à son sexe qui semble en manquer…. Je le tiens dans ma main et je le regarde, sans le lâcher des yeux je le masturbe lentement, lorsque je sens que le plaisir monte, je ralentis et ainsi de suite… Sa main pétrit un de mes seins l’autre accompagne mon poignet dans ses mouvements.

Puis j’embrasse son torse, son ventre, le haut de ses cuisses, ses mains maintenant caresses ma tête, il se voit dans le miroir en train de recevoir une fellation intense… Ma langue lèche ses testicules, puis viens déguster ce sexe tendu et puissant… Je le veux dans ma bouche, alors lentement je l’aspire, je le tête, je le prends profondément dans ma bouche, je laisse ma langue passer dessus avec satisfaction. Puis j’imprime des mouvements de va et viens de plus en plus rapide… il n’en peux plus, moi non plus… je délaisse son pénis aussi dur que du bronze et m’attrape dans ses bras me plaque contre le mur… Je m’empale doucement sur son membres, je sens ses testicules à chaque poussées, je crie, je me vois dans le miroir en train de jouir… je me vois avoir l’orgasme le plus puissant que je n’ai jamais eu….

Un petit avis sur l’histoire ce qu’elle vous fait ressentir et ce que vous en pensez…

 satora

L histoire s’est passée il y a quelques temps. Mon copain et moi, étions surs que nous étions fait l’un pour l’autre. De temps en temps nous nous caressions mutuellement mais nous n’avions jamais connu un véritable plaisir ensemble.
Un soir d’été, il m’invita chez lui et me dit que ses parents étaient sortis. Il m’avait préparé un repas surprise mais lorsqu’il arriva avec le gâteau au fraise il s’encoubla et me le renversa dessus. Mal à l’aise il me montra la douche et m’apporta des habits propres. J’étais dans sa salle de bain et tournais le dos au rideau, lorsque je ne retournais pour sortir il était là, nu, me bloquant la sortie. Il me souris et me rejoignit sous la douche, nous nous embrassions longuement et il me caressait avec finesse, ses doigts effleurant mes parties. Ma main s’agrippait à son manche bien dur et commençait à le branler. Soudain il éteignit la douche, se colla à moi et me souleva. Il me porta jusqu'à son lit et me fis comprendre ses intentions lorsqu’il écarta mes jambes pour me lécher. Je n’avais jamais fait ça, c’était nouveau mais bon. Il titillait mon clitoris avec la pointe de sa langue et de temps et temps il l’aspirait. Je mouillais abondamment et il le vit lorsqu’il introduit un doigt en moi. Faisant quelques vas et viens, il en introduit un deuxième tout en continuant de me lécher. Ses doigts tournent en moi, je gémis j’aime ça c’est trop bon. Il remonte vers moi et m’embrasse. Je lèche ses doigts de manière suggestive. Il comprend tout de suite à quoi je pense. Lorsque je commençais à descendre pour le sucer il me retint et il me mit à califourchon sur lui en position du 69. Et nous commençâmes comme ça. Des fois il arrêtait pour profiter de ce que je lui faisais et gémissait fort pour que je comprenne ce qu’il aimait. Je me retournais et continuais de la lécher, tantôt sur le gland tantôt de bas en haut. Je lui caressais l’entre jambes et passais la langue sur ses testicules. Je sentais qu’il allait venir. J’accélérais de plus en plus vite et enfonçant sa bite au plus profond de ma gorge, je sentis un long jet de son fluide que j’avalais avidement. Il était haletant. Il m’embrassa et descendit une main pour me caresser et voir que cela m’avait fait de l’effet.
Il me caressa pendant un moment en reprenant ses forces. Il me dit qu’il m’aimait et m’embrassa. Je m’allongeais sur lui pour sentir son corps chaud sous le mien. Il me fit rouler je me retrouvais maintenant sous lui. Il me lécha les seins pendant que son sexe redevenait dur et prêt à passer à l’action. Il m’écarta bien les jambes, profitant pour faire glisser de haut en bas son majeur. Il l’introduit un petit peu puis tourna autour de mon clitoris déjà bien sortis. Humidifiant un autre doigt en l’insérant en moi il reprit ses caresses à deux doigts. Je commençais à gémir puis les gémissement se transformèrent en cris je ne me retenais sachant qu’il y avait personne. En m’entendant crier si fort il continua plus avidement. Il me jeta un regard qui en disait long. D’un coup de tête et avec un sourire je lui fis comprendre que j’adorais ça. Il me lécha pendant que ses mains caressaient mes fesses. Ses doigts s’approchaient toujours plus de mon petit trou se qui m’effrayait et m’excitait en même temps. Il passa son majeur, toujours humide entre mes fesses, en prenant bien garde de me faire comprendre ses intentions. Doucement je sentis quelque chose s’introduire entre mes fesses c’était doux, lent et bon. J’en voulais plus. Je lui dis donc : Je suis toute à toi fait ce que tu veux de moi. Cette petite phrase l’excita il me répondit d’accord et fourra un doigt de sa main libre dans ma fente sans toute fois s’arrêter de me lécher. J’eux mon premier orgasme comme ça mais ce n’était que le début de la nuit. Il vint m’embrasser et se serrer contre moi, mon cœur battait à tout rompre, il posa sa tête sur ma poitrine et nous restâmes un moment comme ça avant de reprendre.
Il mit d’abord un peu de musique. Il me connaissait parfaitement et su quelles chansons mettre pour me faire danser. Il m’invita dans un slow que je ne refusais point. Nos deux corps humides et chauds collés l’un contre l’autre, pour une danse sensuelle, ne fit que nous exciter d’avantage. A la fin de la chanson nous ne retournions pas tout de suite sur le lit mais sur le fauteuil où il m’invita à venir m’asseoir sur ses genoux. Ses bras s’enroulaient autour de ma taille. Il me reculait et me rapprochait de plus en plus de son sexe en érection. Pour finir il me porta et me mis au dessus. Son sexe glissa sans problème dans mon intimité encore vierge. Comme le fauteuil ne nous laissait pas trop de liberté il m’allongea par terre et me prit dans la position du missionnaire et me fit délicatement découvrir des plaisirs inconnus. C’était lent très lent et tout d’un coup, il accélérait. Il faisait de lent va et vient il sortait et rentrait aussitôt. C’était bon. Mon bassin ondulait malgré moi mes jambes s’écartaient et il profitait pour entrer plus profondément en moi. Une de ses mains caressait mes seins mais ce n’était pas assez j’avais vraiment besoin de plus. Il le compris vite et alla chercher un gode. Il me m’allongea sur le ventre et écarta mes jambes. Ils mis le gode dans mon vagin humide, fit quelques allers-retours puis il inséra sa bite dans mon anus tout en continuant avec le gode. Mon orgasme vint assez rapidement mais je retins pour qu’il jouisse en même temps que moi. Soudainement il sortit le gode et rentra lui à la place et là je le sentis se répandre en moi je me laissais aller et criais mon plaisir. Je me retournais et l’embrassais passionnément.