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 Mon péché mignon : la sodomie. Depuis que je l'ai découverte, la sodomie occupe une place importante dans ma vie. Et pourtant, ce ne fut pas toujours le cas. Jadis, je refusais cela de peur d'avoir mal. Malgré tout, je trouvais l'idée excitante. Pourquoi ? Parce que la transgression des interdits m'excite et parce que j'aime avoir la sensation d'être possédée par mon homme.

 

 L'idée a fait son chemin. J'ai fini par tenter le grand saut. Et là : la révélation ! J'ai adoré ! Je m'en suis voulue de m'être privée si longtemps de cet art de vivre. Le plaisir physique était au rendez-vous. J'ai vécu, comme je le pressentais, un grand sentiment d'abandon à mon homme, une appartenance complète. La violation de l'interdit était extrêmement excitante. Et puis s'est ajouté à cela quelque chose que je n'avais pas prévu, quelque chose que je n'avais lu nulle part. Une forte sensation de relaxation dans tout le corps. Un peu comme si on m'avait fait un massage pendant une heure. Je pense que cela doit provenir d'un lien entre la relaxation du sphincter et la relaxation du corps tout entier. Il m'est arrivé certaines fois d'être carrément proche de l'endormissement, dans cet état de plénitude dans lequel on est parfois lorsque l'on sent que l'on va s'endormir.

 

 

Depuis ce jour mémorable, je ne peux plus m'en passer. J'ai la chance d'avoir un partenaire endurant. Il arrive souvent qu'il me sodomise une demi-heure en guise de préliminaires avant de me prendre par la chatte qui est à ce moment, vous l'aurez facilement deviné, complètement trempée. D'autres fois, il me sodomise après m'avoir fait jouir par la voie traditionnelle. L'effet de relaxation est alors très fort. D'autres fois encore, il ne me prend que par la voie étroite et cela me met dans un état suffisamment extatique pour que je m'estime pleinement comblée. Lorsqu'on ne fait que cela, le rapport peut durer plus d'une heure. Je suis toujours étonnée qu'avec la durée cela ne devienne pas irritant ou douloureux, alors que dans les rapports vaginaux, il m'arrive que cela devienne irritant après une heure de pénétration. Si quelqu'un a une explication... Il est vrai que mon homme sait s'y prendre et fait toujours attention à ce que je sois suffisamment lubrifiée, mais tout de même... J'aime aussi sentir quelque chose dans mes fesses lorsque je me fais prendre de façon classique. Le plus souvent c'est par un de ses doigts ou l'un des miens. Cela peut être aussi par un objet que nous avons à portée de la main.

 

 

Lorsque je suis seule, je me sodomise moi-même avec mes doigts (malheureusement pas assez longs) et toute une panoplie d'objets, de fruits et légumes, bref , n'importe quoi tant que la forme et le volume semblent appropriés. Cela ne vaut pas une bonne bite me direz-vous ? Certes. Mais on n'a pas toujours une bite sous les fesses. Dans ces moments je suis bien contente d'avoir un objet pour remplir cet office (ou plutôt devrais-je dire " cet orifice "). Lorsque je me sodomise, j'aime être face à un miroir car d'une part j'aime regarder ma chatte (j'en suis fière), et j'aime aussi regarder ce qui s'enfonce dans mon anus. Je m'impressionne moi-même. Je me dis que cela ne va jamais pouvoir rentrer, mais ça rentre. J'aime changer les objets que j'utilise car il y a une dimension ludique que j'apprécie, mais aussi parce que les sensations sont différentes. Chaque objet apporte des sensations spécifiques du fait de sa forme, de son volume, de sa texture de surface et de sa dureté. J'aime ressentir ces différences en passant de l'un à l'autre. Je me sers aussi maintenant de la sodomie pour me relaxer dans la vie courante lorsque je me sens stressée. Effet garanti. J'ignore si d'autres femmes ont ressenti la même chose. Je serais curieuse de le savoir. Et la douleur dans tout ça ? Je l'avais oubliée. En fait, c'est très simple. Dans les premières secondes de la pénétration l'écartement du sphincter peut être un peu douloureux (mais c'est raisonnable, rien de très méchant), mais très vite, il se relaxe et s'adapte à son visiteur, et cette gêne disparaît totalement. Il peut y avoir une autre douleur due au frottement. Mais ce problème n'existe que si l'on n'est pas lubrifiée. Vu que je suis toujours bien lubrifiée avant d'entreprendre une sodomie, je n'ai jamais ce problème. En conclusion, je ne peux que vous encourager à découvrir la sodomie. Une bonne lubrification, de la douceur et une absence de crispation vous permettront de découvrir une plénitude que vous n'imaginez pas.