photo de charme amateur sexy et gratuite

 

 

 

 

Sodomie : Mode d'emploi Le désir et la peur (écrit par Sandrine et Alexis) Le désir : Rappelons tout d'abord une évidence : Rien n'est possible en amour sans désir partagé. Les deux partenaires doivent avoir envie de partager ces instants. Les motivations peuvent être très différentes, mais le but doit être le même. Si un seul des partenaires le désire, il devra d'abord éveiller le désir de l'autre. On pense trop souvent que c'est l'homme, la femme s'y refusant, mais il arrive aussi fréquemment que ce soit l'homme qui traîne du pied. Pour éveiller ce désir, il faudra mettre en évidence un des aspects de la sodomie auquel, l'être cher pourra être sensible. Passons-en en revue quelques-uns : 1. La sodomie apporte des sensations spécifiques. (Parfait pour les partenaires très sensuels) 2. Elle permet de se renouveler, d'enrichir les pratiques au sein du couple. (Parfait pour les partenaires avides de découvertes) 3. Elle apporte un sentiment de très grande proximité avec l'autre du fait du caractère particulièrement intime de l'orifice visité. (Parfait pour les partenaires vivant dans une relation fusionnelle) 4. Elle peut donner une sensation de domination à l'homme et de soumission à la femme. (Parfait pour les partenaires aimant les relations avec une position dominante de l'homme). 5. Elle permet de montrer son attention à l'égard de l'autre. (Parfait pour les partenaires qui conçoivent l'amour sur un mode altruiste). Enfin, chacun de ses aspects a pour effet de développer les sentiments à l'égard de l'autre, ce qui n'est pas le moindre des avantages. La peur : Désirer pratiquer la sodomie ne suffit pas. Encore faut-il ne pas en avoir peur. Il existe tout un ensemble de peurs relatives à la sodomie qui empêchent beaucoup de couples de s'y adonner. Nous allons essayer de répondre aux plus courantes. 1. La signification de l'acte. Il faut que la symbolique attachée à la sodomie ne heurte pas les valeurs. Exemples : - Une femme attachée à l'égalité homme/femme s'y refusera si elle le conçoit comme un rapport de domination/soumission. - Un homme pensant que cette activité est réservée aux homosexuels s'y refusera pour protéger sa représentation de sa virilité. - Les personnes ayant une vision étroite de l'ordre naturel s'y refuseront parce qu'elles considèreront la pratique contre-nature. - Les personnes ayant certaines valeurs morales s'y opposant (souvent d'origine religieuse) refuseront pour ne pas pécher. Dans tous les cas, il est nécessaire d'amener à un changement de signification chez l'autre. Pour cela, il est utile de battre en brèche ses arguments défendant la signification qu'il attribue à la sodomie, mais plus utile encore, de lui faire partager une nouvelle signification à laquelle il n'avait pas songé, et avec laquelle il est en accord. 2. La propreté. L'anus a la réputation d'être un endroit sale. En réalité, pour les personnes ayant un transit intestinal normal, l'endroit est propre et dégagé la plupart du temps. Il est juste nécessaire d'éviter les moments autour de celui d'aller aux toilettes. Pour plus de garanties un lavement peut-être envisagé, mais c'est peu romantique et laisse peu de place à la spontanéité. Quoi qu'il en soit, un accident reste toujours possible. Il faut donc en avoir discuter avant afin que chacun exprime qu'il l'assume. Savoir que ce n'est pas un drame pour l'autre permet de le relativiser pour soi. L'aspect visuel propre, n'implique pas pour autant l'absence de germes. Il faut donc éviter de passer de l'anus au vagin sans une toilette entre les deux. 3. La douleur. La sodomie peut être douloureuse de 2 façons différentes : Par irritation des muqueuses ou par dilatation brutale du sphincter. - irritation des muqueuses : Tout d'abord, mieux vaut être épilée ou rasée car les poils entrant dans l'anus, même si souvent ils ne sont pas gênants, peuvent être des facteurs supplémentaires d'irritation. Ensuite, elle se prévient facilement par l'utilisation d'un lubrifiant. Cela peut être un produit pharmaceutique ou plus simplement de la salive. La lubrification doit être abondante et renouvelée régulièrement au cours de l'acte. En début de pénétration, que ce soit avec les doigts ou avec la queue, la lubrification risque d'être éliminée par le frottement des épidermes. Typiquement, l'anus et le doigt investigateur sont bien lubrifiés. Le doigt commence à entrer dans l'anus, puis au bout de 2 ou 3 cm, il peut sentir qu'il n'est plus lubrifié à certains endroits. A ce moment, il faut ressortir, lubrifier à nouveau, puis revenir. A ce moment on arrivera un peu plus loin et le même phénomène se reproduira. On recommencera alors autant de fois que nécessaire. Mieux vaut trop que pas assez. - La dilatation du sphincter : C'est le problème le plus délicat. C'est là que se fait la différence entre les pratiquant aguerris et les novices. Mais une fois le sphincter passé, la voie est relativement large et la pénétration peut être profonde sans problème. On peut se comporter sans plus de réserves que lors d'une pénétration vaginale. Tout se joue à l'entrée. Le sphincter est un muscle. Plus il sera décontracté et souple, plus la sodomie se passera dans de bonnes conditions. Toutes les femmes ne partent pas à égalité. Les femmes naturellement souples auront également un sphincter plus facile à franchir. Comme pour n'importe quel muscle, à la souplesse naturelle s'ajoute la souplesse acquise. Plus la femme pratiquera la sodomie, plus elle gagnera en souplesse, et sera capable aisément d'ouvrir la porte à son visiteur. La réussite tient autant à l'action de l'homme qu'à celle de la femme. Que doit faire l'homme ? - Mettre sa partenaire en confiance. Elle doit être convaincue que tout se passera bien. A lui de faire en sorte qu'il en soit ainsi. - Etre à l'écoute de sa partenaire. C'est elle qui va lui faire comprendre si ce qu'il fait lui convient ou non. - Avoir un comportement de préliminaires amoureux similaire à celui qu'il adopte avant un coït. - Prendre son temps. Plus les choses se dérouleront lentement, plus elles se dérouleront bien. - Avant d'enfoncer son énorme sexe, l'homme a tout intérêt à pénétrer sa compagne avec des choses moins volumineuses. Le mieux est indiscutablement les doigts. Ils sont plus petits, mais en plus, il sont plus doux et souples qu'un objet et grâce à leur perception tactile permettent d'agir avec plus de précision. - Entrer en plusieurs fois. Entrer de quelques mm, ressortir, entrer de quelques mm de plus, ressortir, etc. Que doit/peut faire la femme ? - Elle peut s'entraîner seule ! Et oui, dans ce cas elle contrôle tout et n'a strictement aucune raison d'avoir peur. Elle peut aller à son rythme et s'arrêter quand elle veut suivant ses sensations. C'est sans doute une très bonne idée pour les débutantes. Son homme peut être à ses côtés ou non selon ses préférences. - Pratiquer régulièrement pour conserver sa souplesse (seule ou à deux). - Informer son partenaire. Elle a intérêt à lui dire si ce qu'il fait lui convient, voire à prendre le contrôle complet de la situation si le couple est peu expérimenté. - Se décontracter. Il va sans dire que cela n'est possible que dans un climat psychologique de confiance. Avec le temps et une bonne connaissance de son corps une femme devient capable de relativement bien décontracter son sphincter. Il y a une circonstance classique où il s'ouvre facilement : lorsque l'on va aux toilettes. Il peut donc être utile de reproduire le mouvement de poussée que l'on fait à ce moment pour permettre une meilleure ouverture du sphincter au moment de commencer la sodomie. - La levrette. La position à 4 pattes typique de la levrette (et aussi de la sodomie dans l'imaginaire de beaucoup) permet souvent une ouverture bien plus facile de l'anus. Celui-ci peut même s'ouvrir spontanément dans cette position pour peu que l'on ne s'y oppose pas. Ce n'est pas pour rien que c'est la position que j'ai le plus souvent sur les photos sur lesquelles mon anus est ouvert sans rien à l'intérieur. Dans les autres positions, il se referme trop vite pour que l'on ait le temps de prendre la photo en prenant notre temps. Cela dit, une fois que l'assaut de l'anus est réalisé, il est possible de passer en revue toutes les positions que l'on pratique lors du coït classique, sans aucun problème, et même oublier toutes ces consignes pour se consacrer au but de tout cela : le plaisir partagé.
Dim 20 mai 2007 Aucun commentaire